Assemblée populaire à Saint-Ours
Dénonciation des 10 résolutions Russell au printemps 1837
Louis-Joseph Papineau invite la population à boycotter les produits importés du Royaume-Uni.
Le gouverneur général Gosford utilise la répression pour répliquer au Patriotes.
Interdiction des assemblées populaires à l'été 1837
Lord Gosford. Gouverneur général
Drapeau patriote
Les députés patriotes, majoritaire à la chambre d'assemblée, paralyse le gouvernement en refusant de voter le budget.
Parlement du Bas-Canada. Québec.
Le gouverneur général Gosford dissout le parlement en réaction au blocage de la chambre d'assemblée.
RADICALISATION DE LA POPULATION
Invite les partisans patriotes à prendre les armes.
Invite les partisans anglophones à prendre les armes contre les Patriotes.
Assemblée populaire des Six Comtés. 23 octobre 1837.
Devant 5 000 personnes, malgré l'interdiction des autorités britanniques, Louis-Jospeh Papineau invite la population à boycotter les produits importés britanniques.
Un leader plus radical, Wolfred Nelson appele à la révolte armée
Le gouverneur général Gosford demande l'arrestation de 26 leaders patriotes pour haute trahison. Plusieurs leaders, donc Louis-Jospeh Papineau, s'exilent aux États-Unis pour éviter l'arrestation.
Wolfred Nelson prépare les Patriotes aux combats.
Wolfred Nelson
RÉBELLION DE 1837
UNE VICTOIRE PATRIOTE
Soldats britanniques durant la bataille de Saint-Denis
Victoire des Patriotes contre l'armée britannique
L'armée patriote se bat avec des moyens rudimentaires
Fourches/Batons/Fusils/Etc
Vieux de 37
NOMBREUSES DÉFAITES
Soldats britanniques durant la bataille de Saint-Eustache
LA POPULATION DURANT LES RÉBELLIONS
Bourgeoisie libérale est favorable aux revendications, mais divisée face aux moyens.
Le peuple appuie les Patriotes, mais seulement 8 000 personnes prendront les armes.
Le clergé s'oppose aux Patriotes parce que ceux-ci proposent la séparation de l'Église et l'État.
La majorité des seigneurs s'opposent aux Patriotes parce que ceux-ci proposent l'abolition de certains privilèges seigneuriaux.
RÉBELLION DE 1838
Robert Nelson
Déclaration à l'hiver 1838 de l'indépendance du Bas-Canada par l'Association des Frères Chasseurs. Cette association vise à réaliser un second soulèvement armée à l'aide d'armes et de munitions américaines.
Défaite du second soulèvement
Déportation vers l'Australie
Pendaison de certains Patriotes
Pendaison des Patriotes à la prison du Pied-du-Courant
Prison au Pied-du-Courant
Si tu te couches, ils vont te piler dessus. Si tu restes debout et tu résistes, ils vont te haïr, mais ils vont t’appeler “monsieur”
Territoire du Haut-Canada
Opposition des députés réformistes du Haut-Canada au Family Contact, un groupe politique très influent et très riches. Ils exigent la responsabilité ministérielle et un conseil législtaif élu.
Les combats entre les réformistes et l'armée britannique se solde par la défaite des réformistes.
Lord Durham. Gouverneur général.
Londres nomme Lord Durham comme gouverneur général afin de faire la lumière sur les causes des rébellions. Il doit également proposer des solutions.
Le système politique n'est pas réellement démocratique
Les intérêts francophones sont divergents des intérêts anglophones
Les Canadiens français sont majoritaires et refusent la domination britannique
Instaurer un gouvernement responsable
Unir le Bas-Canada et le Haut-Canada pour créer une seule chambre d'assemblée dominée par les Britanniques.
Assimiler les francophones par une immigration britannique massive
Assimiler les francophones en adoptant l'anglais comme langue officielle
Rapport de Lord Durham, 1839.
Les Canadiens français sont généralement en faveur
La bourgeoisie d'affaire britannique est généralement contre
Les députés réformistes britanniques sont en faveur
Les Canadiens français sont contre
Les colons britanniques sont généralement pour